Il s'en foutait plein les fouilles !!
Trop c'est trop !! Les administrateurs de Vinci ont enfin mis un termes aux exigences financièren insensées du président Zaccharias.
Les montants des sommes alouées au président, mis sur la place publique, faisaient trop mauvais effet et risquaient d'emplifier l'ecoeurement général et de ternir un peu plus l'image des entreprises françaises - heureusement pas toutes ! - qui semblent bénéficier d'un gestion "A la française ", c'est à dire : "on s'en fout plein les fouilles" !
Zacharias était rémunéré 4,3 millions d'euros en 2005.
Une indemnité pour abandon de fonctions opérationnelles lui a été versée : 12,9 millions d'euros (vous en faites moins et on vous paye pour ça !).
Il a obtenu une retraite complémentaire équivalente à la moitié de son salaire, soit plus de 2 millions d'euros annuels.
Avec les jetons de présence les stocks-options, son package avoisine les 55 millions d'euros.
Il aurait accumulé selon M. Huillard, drecteur général de Vinci, un patrimoine de 250 millions d'euros notamment sous la forme de titres Vinci.
ENORME !! mais pas assez pour Zacharias qui réclamait 8 millions d'euros pour avoir réussi l'achat des autoroutes du sud de la France pour le compte de Vinci.
STOP ! ont dit les 14 administrateurs (mais le vote a été serré !) Ces derniers ont mis bien du temps pour arrêter Zacharias, sans doute est-ce parce qu'ils sont eux-mêmes PDG (UBS holding France, Coface, Renaud-Sport, Banque Saint-Olive, Sofico).
Une mention particulière à Alain Minc qui prend des jetons de présence comme président D'A.M. Conseil, président du conseil de surveillance du Monde, et se fait, à chaque occasion, grand donneur de leçons sur la bonne gestion de la France !
C'EST LE SCANDALE QUI LES A FAIT AGIR, ET PAS LES PRATIQUES... CAR SANS DOUTE ONT-ILS AUSSI DES SITUATIONS OU LES "PARACHUTES" SONT IMPORTANTS !
Magnolia